Gallimard, 2018
Sept ans après Emportée, où elle évoquait la liaison douloureuse de sa mère avec René Char, Paule Du Bouchet compose une sorte d’adagio intime, un portrait de son père qui, en même temps, est aussi son propre autoportrait.
« Mon père est mort le 19 avril 2001, le jour de mon anniversaire. Celui de mes 50 ans. Passé le saisissement de ce rapprochement, j’ai compris qu’il s’agissait d’un don qu’il m’avait fait et que, au fond, cela racontait très particulièrement mon (...)
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