Correspondance
Articles
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La Faute à Rousseau n°79 (octobre 2018), Correspondances
20 octobre 2018, dans > Publications > La Faute à Rousseau, revue de l’autobiographie
Présentation du dossier Correspondances
Un jour peut-être, on racontera aux petits enfants que, il y a bien longtemps, les gens recevaient des lettres. Le facteur (là il faudra expliquer ce que c’était qu’un facteur…) les apportait à domicile. Ils ouvraient l’enveloppe et y trouvaient une ou plusieurs feuilles de papier, où une autre personne avait écrit à la main (ceci dans la version la plus ancienne du mythe) un message personnel qui leur était destiné. Parfois la lettre venait de très (…) -
Le livre-navette de l’APA sur le site des Archives de Haute Garonne
11 janvier 2020, dans > Actualités
Le groupe APA de Toulouse avait, parmi ses activités de 2018, mis en oeuvre la réalisation d’un livre-navette sur le thème Bruissements du monde.
Voir ici la présentation de cette expérience
La pérégrination du livre-navette entre les divers correspondants sollicités s’est achevée en mars 2019. Le livre a été présenté aux Archives départementales de Haute-Garonne où se trouvent déjà les livres-navette de Berthe Bergé, réalisés dans les années 1930 et qui nous avaient donné l’idée de (…) -
Cinquante ans d’amour en lettres
15 décembre 2014, dans > Réunions publiques > Matinées du Journal
Matinée du Journal du 29 novembre 2014
En 1832, au plus fort du mouvement romantique, une actrice obscure de 26 ans rencontre un écrivain à peine plus âgé, mais déjà connu ; ils deviennent amants et le resteront jusqu’à la fin de leur vie ; tout le reste de son existence, quoi qu’il arrive, elle lui écrira tous les jours. Telle est l’histoire de Juliette Drouet et Victor Hugo, comme elle est retracée dans ce véritable « journal épistolaire » comprenant environ vingt-deux mille lettres. (…) -
Isabelle de Bourbon-Parme : "Je meurs d’amour pour toi..."
13 janvier 2009, dans > Nous avons lu, nous avons vu...
Lettres à l’archiduchesse Marie-Christine (1760-1763) Édition étable par Élisabeth Badinter Tallandier, 2008
Princesse espagnole, descendante de Louis XIV par son grand père Philippe V d’Espagne mais aussi par son grand-père maternel Louis XV, cette jeune femme qui meurt à 22 ans a eu le temps d’écrire des textes intéressants, d’avant-garde et féministes avant l’heure. Elle appartient au « club fermé des princesses philosophes », est aussi très bonne musicienne (comme de nombreux (…) -
La Faute à Rousseau n°34 (février 2003) Correspondances
15 février 2003, dans > Publications > La Faute à Rousseau, revue de l’autobiographie
Sommaire
Éditorial : Auto… promotions !, par Gilles Alvarez 3 Page blanche : Denise Thémines-Monville 4 L’événement : Plumes d’Ange, de Martin Winckler, par Gilles Alvarez 6
Activités de l’association
Jeudi à Ambérieu, par Michel Vannet 8 De groupe en groupe 9 Calendrier 11 L’équipe Faute à Rousseau 12 Amiel à la Matinée du Journal 14 « Vivement dimanche » 14 Les Journées de l’autobiographie, 6-8 juin 2003 15 Les Apaïstes publient 17 Textes inédits déposés, mai-août 2003 18 Échos du Je (…) -
Les livres-navettes de Berthe Bergé 1932-1936
24 septembre 2017, dans > Nous avons lu, nous avons vu...
Par un bel après-midi de septembre Madame Hélène Faudot a reçu des membres de l’APA de Toulouse, aux Archives départementales de la Haute-Garonne pour nous présenter les livres-navettes que sa mère, Berthe Bergé, avaient lancés. Avec passion elle nous a raconté l’origine de cette idée qui a duré de 1932 à 1936.
Berthe vivait en Tunisie et était lectrice dans deux magazines féminins de cette époque, Eve et Minerva. Le courrier des lecteurs trop abondant et limité à quelques lignes ne (…) -
Gustave Flaubert : Correspondance, tome V
6 novembre 2008, dans > Nous avons lu, nous avons vu...
Pléiade, 2008
Hénaurme, comme aurait écrit l’écrivain ! Me revoilà avec ce tome V, droguée à la correspondance de Flaubert...
Je ne le lâche plus, je ne fais plus rien d’autre, je le suis de jour en jour, bougonnant contre les bourgeois (alors qu’il en est un vrai de la fin du XIXe !), les honneurs, suant sang et eau sur ses deux bonshommes (Bouvard et Pécuchet, œuvre qu’il laissera inachevée), drôle dans ses formules, si moderne dans son langage, si pathétique avec ses ennuis d’argent (…)