« La correspondance adressée par Geneviève Randon de Malboissière à son amie Adélaïde Méliand, de 1761 à sa mort prématurée en 1766 — elle n’a alors que 20 ans —, invite à partager l’intimité éducative et culturelle de deux demoiselles issues d’un monde des offices témoignant une grande sensibilité aux Lumières. Au fil des lettres, Geneviève et Adélaïde s’affichent comme de jeunes grandes lectrices, autonomes, éclairées et adeptes d’une ‘lecture-plaisir’ aux antipodes des lectures scolaires. (…)
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